Axes thématiques - déclinaison autour des 3 principaux thèmes: corps, invisible, résilience

Axe Juridique (Droit et criminologie)

(comité scientifique : A. Weyembergh, P. Klein, Berangère Taxil, Damien Scala)

• Mutilation et souffrance physique au regard du droit et de la criminologie
• Le droit comme outil de réparation réelle et symbolique
• Apport et limite du droit dans la question des violences sexuelles

Axe Médical

(comité scientifique: O. Vandenberg, G. Cadières, M. Van Gossum, V. Feipel, Anne Delbaere, Jeanne Bertuit)

• Favoriser la résilience des femmes victimes de violence en temps de guerre en encourageant un système de santé sexuelle
• Réparer l’invisible pour rendre la dignité : de la chirurgie à la rééducation pelvienne
• Vers une prise en soin multidisciplinaire des violences sexuelles liées aux conflits :
  • Approche holistique et retour à une sexualité épanouie.
  • Comment mieux former les professionnels de santé à l'accompagnement des patient.es souffrant de conséquences physiques, psychologiques et sociales des VSLC.

Axe Psychologique

(comité scientifique : A. Blavier, J. Foucart, M. Montville, S. Michiels)

• L’expression psychosomatique des souffrances psychologiques dans le cadre des violences sexuelles. Quand le corps crie ce que le psychisme ne sait pas dire
• La face invisible du soin ou la souffrance du corps médical face aux victimes 
• Influence des piliers juridique, médical et économique sur le rétablissement psychologique des victimes de violences sexuelles.
• Résilience à l’épreuve du polytraumatisme.

Axe Économique (et santé publique)

(comité scientifique : Albert Corhay, Aline Labat, Sarah O’Neill, O. Vandenberg)

• Favoriser la résilience par la réinsertion sociale des femmes et des enfants victimes de violences : partage de témoignages (ex : Equity Healt lab, sister house, équipe CPVS de St Pierre)
• Santé reproductive des femmes victimes de violences sexuelles
• Rendre visible les invisibles : intervention de Panzi dans les lieux plus reculés
• Droit des femmes et des jeunes filles à la contraception et à la prévention des MST pour une meilleure qualité de vie.
• Question des IVG dans le cadre des victimes de violences sexuelles : vers une meilleure reconnaissance des droits des femmes.